Le mois d’octobre s’achève et avec lui, une bonne partie de notre vie aussi. Nous voilà de nouveau confinés et pour certains, c’est un réel cauchemar. Et si, plutôt que de se lamenter, d’angoisser et de déprimer, on profitait de cet arrêt radical dans notre vie pour prendre le temps de faire des choses que l’on aime et qui font du bien à notre esprit. N’oubliez pas que même entre quatre murs, notre imaginaire peut nous faire voyager. Un livre, un film ou simplement une musique peut nous transporter à un endroit différent, à une époque révolue. J’espère que vous êtes tous en sécurité et en bonne santé que ce soit entourés de vos proches ou seul et à vrai dire, nous ne sommes jamais vraiment seuls…
Profitons de cet arrêt dans le temps pour réfléchir à ce que nous souhaitons faire de notre vie lorsque les beaux jours reviendront enfin. Je pense vraiment que ce qui nous arrive, même si c’est horrible quand on y réfléchit, peut se transformer en quelque chose de bénéfique. Remettons toutes nos idées bien en place afin de savoir vers où nous allons !
De mon côté, je vais en profiter pour transmettre un tas de « brèves histoires d’art » 😉 N’hésitez pas d’ailleurs à me suivre sur Instagram où je publie tous les jours !
Je vous laisse donc avec ces quelques mots et vous partage de nouveau une petite sélection Halloween. Courage à tous !
Saturne dévorant un de ses fils, Francisco de Goya, 1819-1823
The Lady Ghost, Adelaide Claxton, 1876
The Party On The Stairs, Adelaide Claxton, XIX
La jeune fille et la mort, Marianne Stokes, 1908
La mère morte, Egon Schiele, 1910
Le Bateau de Charon, José Belliure Y Gil, 1919
Nosferatu Le Vampire, Friedrich Wilhelm Murnau, 1922
Vincent, Tim Burton, 1982
Bela Lugosi en Dracula, Daniel R Horne, XX
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Belle illustration pour la Jeune fille et la mort (je ne peux m’empêcher de penser à Schubert !)
Bonne soirée, Une Brève Histoire d’Art !
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Oh, je ne connaissais pas celui de Egon Shiele ! J’aurais plaisir à vous suivre ! Et je vous cherche sur Instagram !
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Il est sublime et triste à la fois ! Il me touche beaucoup ! Il est aussi un peu « prémonitoire » quand on sait que la femme de l’artiste, Edith, décédera en 1918 de la grippe espagnole alors qu’elle était enceinte de 6 mois… 🥀
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